Invitée d’Europe 1 Soir mercredi, Ségolène Royal a fustigé les "options ultra-libérales" de Christine Lagarde, s'opposant par là à sa candidature à la direction générale du FMI. La présidente PS de la région Poitou-Charentes a estimé que la candidature Lagarde soulevait "deux problèmes" : "la menace judiciaire suite à l’étrange affaire de Bernard Tapie", et surtout, Christine Lagarde "n’a rien fait sur le plan national pour moraliser le système bancaire". "Ce qui est important, ce n'est pas d'être français ou pas français" lorsqu'il s'agit de diriger le FMI, a-t-elle poursuivi.