L'ex-candidate à la présidentielle Ségolène Royal a estimé vendredi que Nicolas Sarkozy "portait une partie de la responsabilité" des incidents de Bayonne, jugeant que "la violence verbale, c'est lui qui l'a commencée", dans un entretien à France Bleue La Rochelle.
"Il porte une partie de la responsabilité du dérapage, puisque la violence verbale c'est lui qui l'a commencée", a réagi Ségolène Royal, tout en condamnant "fermement toutes les formes d'agressivité, de violence ou d'atteinte à l'intégrité des personnes, y compris quand il s'agit d'un adversaire politique".