"J'ai pardonné parce que je suis tournée vers le futur", a répondu vendredi sur i-Télé Ségolène Royal à qui la journaliste demandait "vous avez pardonné?" sans préciser s'il s'agissait des chausse-trappes internes au PS durant sa campagne présidentielle, sa rupture avec son compagnon François Hollande ou le congrès de Reims.
Refusant de commenter les autres candidatures à la primaire qui sont "toutes légitimes" et "respectables", la candidate à la primaire socialiste a dit souhaiter que "ce débat soit de qualité. Il le sera", a-t-elle assuré. "En ce qui me concerne, je suis passée bien au-delà des inimitiés. La vie politique exige de faire un travail très important sur soi-même (...). Je l'ai fait sur moi-même"