Ségolène Royal a estimé mardi que le pouvoir actuel en France était en "fin de règne" et que "la droite ne s'occupait que d'elle même au lieu de s'occuper des Français". Elle a dénoncé, au sein de l'UMP, "des pugilats, des disputes, des tiraillements sur des débats qui ne sont pas au cœur des préoccupations des Français". Interrogée par ailleurs sur la pétition de soutien à la première secrétaire Martine Aubry lancée par des députés, elle a répondu: "Je ne suis pas dans ces stratégies de bataille interne au PS. L'heure n'est pas à lancer des pétitions ou des vraies fausses candidatures, je pense que l'heure est au travail (pour) incarner une alternance".