Le chef de l'Etat avait prévenu Dominique Strauss-Kahn avant son entrée au FMI, révèle mardi Le Figaro. Connaissant le goût avéré de DSK pour les femmes, Nicolas Sarkozy lui avait rappelé qu'il allait prendre la tête d'une institution dans un pays qui avait déjà traqué le président Clinton pour avoir menti sur une relation sexuelle.
Devant différents interlocuteurs, il s'est exclamé : "Je l'avais mis en garde !", rapporte le quotidien. En privé, il s'est aussi dit "affligé" et "peiné pour l'homme et sa famille", selon Le Figaro. Pour le reste, le chef de l'Etat se tiendra à une stricte réserve publique tant qu'il n'y aura pas davantage "d'éléments tangibles".