Nicolas Sarkozy a affirmé qu'il ne pensait "rien" des déclarations à son propos de l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin. Le président-candidat a affirmé qu'il avait "le droit de dire" ce qu'il voulait.
"J'ai vu qu'il était (rendu) inquiet aussi par (François) Hollande", l'adversaire socialiste à la présidentielle de Nicolas Sarkozy, selon les propos même du chef de l'Etat. "Peut-être qu'il est rassuré par lui-même", a estimé l'actuel président.
Dominique de Villepin s'est déclaré "effrayé" par la campagne du président-candidat et ses "gages à l'extrémisme".