Alain Juppé,ancien ministre UMP des Affaires étrangères, a estimé dimanche qu'il fallait "envisager de se passer d'un feu vert des Nations unies" s'il y avait en Syrie "un risque de prolifération d'armes chimiques".
"Sur la question d'utiliser la force ou pas, notre doctrine de toujours est qu'il doit y avoir le feu vert des nations Unies", a-dit le ministre invité de "12/13 dimanche" sur France 3, avant d'ajouter: "est-ce que dans un certain nombre de situations extrêmes, comme le risque de prolifération des armes chimiques, on peut se passer de ce feu vert? Oui, je pense qu'il faut l'envisager".