En 2001, Jacques Chirac avait dit à Philippe Seguin : "il ne faut pas humilier Tiberi". Invité mardi matin d’Europe 1, l’ancien maire de Paris a estimé que NKM "cherche à humilier. Sa première action en arrivant à Paris, au lieu de venir me voir, de dialoguer, est de m’attaquer publiquement alors que je ne suis même pas candidat ! C’était une volonté d’humilier, d’attaquer. C’est une espèce de mépris et si elle persévère dans cette voie, ça ira mal."
Quant à ses relations avec Fillon, élu dans le 5e arrondissement de Paris mais très discret dans cette guerre intestine, Jean Tiberi assure qu’il "ne lui en veut pas, mais je suis triste. C’est un homme qui m’avait promis sa fidélité et sa loyauté. Au moins aurait-il pu essayer de dire le bon sens… Il sait qu’une parachutée est sûre d’être battue et que Tiberi a une chance de gagner, donc il aurait pu le dire."