Elle est heureuse d’être la compagne d’un président. Mais Valérie Trierweiler, qui visitait mercredi une école à Alger en marge de la visite d'Etat de François Hollande, a confié aux écoliers algérois qu'elle était tombée amoureuse de l'homme, "pas d'un président".
On "perd un peu de liberté"
Qu'est ce que cela fait d'être la compagne d'un président?, a demandé un enfant. "Les avantages, c’est d’être là, par exemple, aujourd’hui. De pouvoir voyager et de pouvoir rencontrer beaucoup de gens de toutes sortes", a-t-elle répondu, soulignant que le principal inconvénient est "de perdre un peu de liberté".
"Au début ça fait très très peur, parce qu’on ne sait pas très bien ce qu’il faut faire. Puis, ensuite, on apprend, un peu comme vous à l’école" a-t-elle lancé à la classe qui l’écoutait.
Lors de cette "table ronde" avec les enfants de l'école primaire Alexandre Dumas, Valérie Trierweiler a précisé que son rôle n'était "pas défini" et qu'il lui revenait "d'en faire ce qu'elle veut". La compagne de François Hollande a conclu la visite en disant, avec humour, aux enfants que leurs questions étaient encore plus difficiles que celles posées habituellement par les journalistes.