Valérie Trierweiler est débordée… par les demandes d’interviews. La compagne de François Hollande attire tous les regards dans le cadre de la course à la présidentielle. Des chaînes comme M6 ou TF1 ou des magazines à notoriété internationale comme Vanity Fair dans son édition espagnole tentent de décrocher un entretien. La journaliste de Direct 8 et de Paris Match se voit même proposer de répondre à des quizz sur ce qu’elle aime ou encore sur son compagnon.
Elle a embauché une directrice de la communication
Les sollicitations sont telles que la journaliste s’est adjoint les services d’une spécialiste de la communication : Nathalie Mercier, la directrice de la communication du musée du Quai Branly depuis 2005. Elle a été appelée par le patron de la communication du candidat du parti socialiste à la présidentielle, Manuel Valls. Celle qui a été la conseillère en image de Lionel Jospin pendant la campagne de 2002 travaille aujourd'hui pour Valérie Trierweiler "à titre gracieux".
Jusqu’à présent, la chaîne Direct 8 gérait la communication de la journaliste. Mais, a-t-elle expliqué à L’Express, "j'ai considéré qu'il n'était pas question de faire supporter au service de presse de Direct 8 une charge de travail qui n'était plus liée à mon activité sur cette chaîne".
Ce déferlement médiatique, Valérie Trierweiler ne le voit pas de bon augure à quelques semaines de son retour à l’antenne sur Direct 8. La journaliste interviewera, une fois par semaine, une personnalité culturelle. Même si la compagne de François Hollande savait qu’elle serait exposée durant la campagne présidentielle, elle redoute une possible surexposition et craint de gêner le candidat.