Trierweiler "heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine"

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TWEET - L'ancienne Première dame n'avait pas très envie de partager la table du dirigeant russe.

Mercredi, Vladimir Poutine, dans un entretien exclusif à Europe 1,  s’est offert une sortie que d’aucuns qualifieront de misogyne : "il vaut mieux ne pas se disputer avec les femmes. Mais Mme Clinton n’a jamais été très élégante dans ses déclarations (...) Quand les gens dépassent les limites, ce n’est pas parce qu’ils sont trop forts, mais parce qu’ils sont trop faibles. Mais peut-être que la faiblesse n’est pas la pire des caractéristiques pour une femme".

 Des propos qui n’ont pas plus à Valérie Trierweiler, qui l’a fait savoir sur son compte officiel Twitter :

 

Débarquement allié en Normandie, soupera jeudi à 21 heures à l'Elysée avec son homologue français, qui aura dîné auparavant dans un restaurant parisien avec le président américain Barack Obama. La question ukrainienne doit être au centre de la rencontre Hollande-Poutine, de même que les relations -tendues- entre la Russie et l'Union européenne, selon l'Elysée.

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