Valérie Trierweiler ne compte pas arrêter de tweeter après la tempête médiatique provoquée par son message de soutien à l'adversaire de Ségolène Royal lors des législatives, selon son chef de cabinet Patrice Biancone.
Alors que le quotidien Le Parisien affirme, sur la foi de confidences à une amie, que la compagne du président François Hollande admettrait avoir "commis une erreur" avec son tweet d'encouragement à Olivier Falorni, l'entourage de Valérie Trierweiler n'a pas confirmé.
Patrice Biancone, a souligné que cette affaire avait été "surmédiatisée" et a relevé qu'en définitive, elle n'avait pas eu d'incidence sur le résultat des législatives. Valérie Trierweiler "réfléchit toujours au rôle qu'elle entend jouer" et à sa façon de communiquer, mais en tout état de cause "elle peut continuer à tweeter comme elle veut. Elle n'est pas frappée d'un interdit", a ajouté Patrice Biancone.
"Il faut un peu de temps" encore pour définir son périmètre d'action, a-t-il dit par ailleurs en précisant que "la défense des enfants, l'égalité des chances f(aisaient) partie des domaines dans lesquels elle envisage(ait) de s'investir".