Valérie Trierweiler, qui a promis vendredi de ne plus "se taire" lors de la remise du prix Danielle Mitterrand, a rappelé samedi que "l'humanitaire était son seul combat". La Première dame a tenu à préciser samedi sur son compte Twitter, qu'elle n'entendait "plus se taire sur les scandales humanitaires".
Manière de dire qu’elle continuera à se taire concernant la politique nationale. Une ligne de conduite qu’elle s’est fixée depuis la polémique après son tweet de soutien à Olivier Falorni, candidat dissident du PS opposé à Ségolène Royal, lors des dernières législatives.
" Ne plus se taire sur les scandales humanitaires" . http://t.co/egwy2XRtLx— Valerie Trierweiler (@valtrier) 23 Novembre 2013
Valérie Trierweiler tenait ainsi à lever toute ambiguïté sur ses propos tenus vendredi soir, que certains avaient pu interpréter comme une volonté de retrouver une liberté de parole. "Ce n'est pas le cas, mon discours n'avait trait qu'à l'humanitaire", a-t-elle affirmé. Dans ce discours, elle évoquait le sort des femmes violées en RDC, où elle s'est rendue à plusieurs reprises, mais aussi celui des réfugiés syriens.