Jean-François Copé, président proclamé mais contesté de l'UMP, est prêt, "dans un souci d'apaisement", à ce qu'une nouvelle élection à la présidence du parti soit organisée "en septembre 2013", a annoncé dimanche à l'AFP un de ses proches.
"Dans un souci d'apaisement, Jean-François Copé est d'accord pour organiser une nouvelle élection en septembre 2013. C'est une date à mi-chemin entre mars 2013, comme le voulait initialement François Fillon, et mars 2014, comme l'avait proposé M. Copé", a-t-on ajouté. L'accord global auquel est prêt M. Copé, souligne ce proche, doit aussi inclure l'abandon du "référendum" des parlementaires, programmé mardi, et la dissolution du groupe dissident R-UMP.