Henri Guaino, député UMP des Yvelines et ancien conseiller spécial de l'Elysée, pense "le plus grand mal du droit d'inventaire" du quinquennat de Nicolas Sarkozy, lui préférant un "examen de conscience de chacun".
"Je pense le plus grand mal du droit d'inventaire. Cette expression porte en elle une prise de distance avec ce qui a été accompli", a-t-il affirmé vendredi sur i>TELE, se disant partisan d'un "examen de conscience de chacun" plutôt que d'une "autocritique".
Henri Guaino préfère que l'UMP "tire les leçons" de son action en réfléchissant "à l'avenir" plutôt que de "revisiter le passé en se dédouanant de tout ce qui nous paraît une mauvaise idée".
"La question sur cette période-là, c'est +est-ce que nous avons fait le mieux possible dans les circonstances où nous nous trouvions ?+ Je crois que oui, ce qui ne veut pas dire que tout est parfait", a-t-il expliqué.