"Aujourd'hui toute candidature serait malvenue", a réagi mardi l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin sur Europe1, au lendemain de la signature de l'accord entre Jean-François Copé et François Fillon à l'UMP. Interrogé sur une éventuelle candidature de Jean-François Copé à la présidence de l'UMP en septembre, il a martelé : "il faut penser un peu au collectif, au commun, à l'intérêt général. Reconstruisons d'abord nos muscles. Il y en a un peu marre aujourd'hui de voir que les égos sont énormes, hypertrophiés", a-t-il enchaîné.