Valérie Trierweiler a (enfin) parlé. En déplacement en Inde, lundi, l’ancienne Première dame, venue pour soutenir l’ONG Action contre la faim, s’est prêtée au jeu de la conférence de presse, devant de nombreux photographes et journalistes.
Interrogée sur son ressenti après sa visite dans un hôpital de Bombay, la journaliste a déclaré que "ça [l]’a bouleversé, mais ce n’est pas la première fois que je suis bouleversée. Je l’ai aussi été en Afrique. Je continuerai quoiqu’il arrive à m’occuper de la malnutrition."
Quant à la question de son bilan en tant que Première dame, Valérie Trierweiler, les traits tirés, l’air fatigué, a éludé : "je ne sais pas si c’est à moi de le faire ou à vous ? J’y suis resté 19 mois. J’ai pu découvrir une partie de moi-même que j’ignorais. J’ai compris que l’on pouvait être utile aux autres et en cela, être utile à soi même. Donc oui, je continuerai." Et de conclure : "je me sens très bien ici. Ce voyage était programmé depuis six mois et envisagé depuis un an. Pour rien au monde je n’aurai failli ce rendez-vous. Il me reste quand même quelques années à vivre. Mais je l’envisage bien, ne vous inquiétez pas pour moi."
REPORTAGE - Trierweiler : "je n'ai qu'un garde du corps"
L'INFO - François Hollande annonce sa rupture avec Valérie Trierweiler
PORTRAIT - Une ex-Première dame en souffrance