Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a estimé mercredi matin qu'il n'avait "rien à corriger" à ses propos de la veille sur les Roms qui, selon lui, ne sont qu'une minorité à vouloir s'intégrer en France.
"Je n'ai rien à corriger, mes propos ne choquent que ceux qui ne connaissent pas le dossier", a-t-il déclaré sur RMC-BFMTV, alors qu'Arnaud Montebourg avait jugé mardi que les propos de Manuel Valls étaient "excessifs" et méritaient d'être "corrigés".