CONFIDENTIEL - Le ministre de l’éducation Vincent Peillon confiait récemment à l’un de ses collègues du gouvernement qu’il aimerait bien être à nouveau candidat aux européennes dans le Sud-est l’année prochaine. Pourquoi ? Parce que, sans cela, il n’aurait plus de parachute en cas de remaniement, contrairement à ses collègues ministres-députés qui, eux, sont tranquilles jusqu’en 2017... Selon les informations recueillies par Europe 1, les remous que cause sa réforme des rythmes scolaires semblent quelque peu inquiéter le ministre. Seul problème : le chef du gouvernement, Jean-Marc Ayrault, n’est pas favorable à une telle candidature. Pour le Premier ministre, si on est candidat et qu’on est élu, on doit quitter le gouvernement.