Avec 30% d'opinions favorables, la cote de popularité du président Macron reste stable en février, tout comme celle du Premier ministre qui se maintient à 36%.
La cote de popularité du président Emmanuel Macron (30% contre 31% en janvier) et celle du Premier ministre Edouard Philippe (36%) restent stables en février, selon un sondage* BVA-Orange pour RTL et La Tribune publié vendredi. Au total, 69% des sondés ont une mauvaise opinion du chef de l'État et 63% du chef du gouvernement.
Une progression auprès des sympathisants socialistes. En février, la cote de popularité du chef de l'État a particulièrement progressé chez les sympathisants socialistes (avec 45%, +15 points) et dans une moindre mesure, chez les sympathisants du groupe Les Républicains (32%, +2 points), indique l'enquête. En revanche, elle est en baisse de sept points auprès des sympathisants de droite (28%) mais reste très élevée chez ceux de LREM (95%).
Les sympathisants socialistes sont également plus nombreux à avoir une opinion favorable du Premier ministre (41%, +5 points), comme ceux du Rassemblement national (11%, +3 points).
Hulot, Juppé, Xavier et Le Drian en tête. Nicolas Hulot reste en tête du classement des personnalités que les Français souhaitent avoir davantage d'influence dans la vie politique (40%). Le nouveau membre du Conseil constitutionnel Alain Juppé arrive deuxième avec 29% tandis que le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, est à égalité avec le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian (28%). La cote de popularité de l'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy continue de progresser chez les sympathisants de la droite (+11 points, 65%) et de Les Républicains (+10 points, 75%).
De son côté, Marion Maréchal voit sa cote d'influence baisser significativement chez les Français (-4 points, 21%), les sympathisants de la droite (-9%, 37%) et ceux du Rassemblement national (-11%, 60%).
*L'enquête a été menée sur Internet du 20 au 21 février auprès d'un échantillon représentatif de 1.012 personnes, selon la méthode des quotas.