"Ça me ferait trop mal" : la procureure du procès des assistants parlementaires du FN a évoqué son sentiment, si elle avait prononcé une relaxe contre un prévenu autre que Marine Le Pen. Cette petite phrase fait réagir Gilbert Collard, avocat et ancien député du FN-RN à l'Assemblée. "Cette affaire, sur cette simple phrase, va prendre une ampleur inédite", a-t-il déclaré dans l'émission Pascal Praud et vous.