Alors qu'une peine de cinq ans de prison dont deux ferme aménageables, assortis de cinq ans d'inéligibilité, a été requise contre Marine Le Pen dans le procès des assistants parlementaires du FN, devenu le RN, le président du parti Jordan Bardella déclare dans "Punchline" que son mouvement "a un genou à terre".
C'est un coup dur pour le Rassemblement national : dans le procès des assistants parlementaires du FN, devenu le RN, cinq ans de prison dont deux ferme aménageables, assortis de cinq ans d'inéligibilité ont été requis contre Marine Le Pen , double finaliste à l'élection présidentielle en 2017 et 2022. Invité dans l'émission Punchline au lendemain des réquisitions, le président du parti Jordan Bardella a déclaré que son mouvement avait "un genou à terre", justifiant sa volonté de ne pas s'exprimer sur une potentielle candidature de sa part à la prochaine élection présidentielle.