À l'occasion de la sortie en édition poche de son livre à succès, Merci pour ce moment, écoulé à plus de 750.000 exemplaires,Valérie Trierweiler, d'habitude peu bavarde, a donné une interview au Parisien, mercredi L'occasion pour elle, notamment d'égratigner encore un peu plus François Hollande. Sans oublier Ségolène Royal.
"J’ai été naïve". "Je m’incline. Ils sont indissociables. Cela dépasse leurs enfants. Tous les deux partagent un goût immodéré pour la politique. Le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune. L’enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l’Elysée. C’est tranché. Lorsqu’en 2005, leur rivalité a pris le pas sur leur complicité, j’ai servi d’instrument pour la conquête du pouvoir. J’ai été naïve", a-t-elle déclaré.
Très critiquée au moment de la sortie de son livre, la journaliste ne regrette rien. Et surtout pas d'avoir écrit que François Hollande parle des "sans-dents", ce qu'il a nié : elle le réécrirait "sans la moindre hésitation, parce que, hélas, c'est la vérité."