La jeunesse éternelle. Beaucoup en rêvent mais elle reste hors de portée. Alors, à défaut d'avoir trouvé la fontaine de Jouvence, certains Français misent sur le lifting. Une opération de chirurgie esthétique qui s'est inscrite dans nos langages et dans nos solutions pour lutter contre le temps qui passe. Mais au micro de l'émission Bienfait pour vous, le docteur Alexandre Marchac revient sur les alternatives à l'opération et l'âge idéal pour franchir le pas.
Pensez aux alternatives
Car avant de se lancer, d'autres solutions peuvent vous aider à entretenir votre peau et retarder l'opération. "Avant ça, il y a plein de choses à faire", explique le chroniqueur beauté. "On peut d'abord commencer par compenser la perte de volume (de la peau). Et puis on a des machines, notamment pour retendre un peu les tissus ou encore des méthodes mini liftings, qui sont très peu invasives", note-t-il.
Mais, rien "ne reste plus efficace qu'un lifting", estime le docteur Alexandre Marchac. "On voit même un vrai regain du lifting. D'abord parce qu'il n'y a rien de plus efficace et c'est très clairement ce qui va le mieux redessiner l'ovale du visage et le cou. Et puis parce que cette méthode a progressé et il y a eu de vraies évolutions", souligne-t-il.
Être en forme dans sa tête
Des évolutions profitent aux clients, à condition de se situer dans la bonne tranche d'âge. "Idéalement, il faut y penser entre 50 et 60 ans, quand on commence à voir apparaître une vraie bajoue, ou un cou qui se détend." Et avant de sauter le pas, Alexandre Marchac fait un point sur les cases à cocher pour vivre l'opération de la meilleure façon possible.
"Un lifting, ça se prépare, ce n'est pas une intervention qu'on fait sur un coup de tête comme ça. Donc éduquez-vous, n'hésitez pas à comparer les différentes approches. Et puis, pour que ça se passe bien, il faut être en forme dans sa tête, car on n'opère pas quelqu'un qui est déprimé", conclut-il.