Sur 16 cas, douze ont été rapportés en Ile-de-France, un en Auvergne-Rhône-Alpes, deux en Occitanie et un en Normandie, selon les chiffres de Santé publique France. Le précédent bilan faisait état de sept cas "avérés" selon la nouvelle ministre de la Santé Brigitte Bourguignon mercredi.
La France comptait samedi 16 cas "confirmés" d'infection au virus de la variole du singe , selon les autorités sanitaires dimanche. Sur ces 16 cas, douze ont été rapportés en Ile-de-France, un en Auvergne-Rhône-Alpes, deux en Occitanie et un en Normandie, selon les chiffres de Santé publique France. Le précédent bilan faisait état de sept cas "avérés" selon la nouvelle ministre de la Santé Brigitte Bourguignon mercredi. Santé publique France annonce une actualisation du bilan pour lundi. Brigitte Bourguignon avait indiqué que les autorités ne s'attendaient pas à une "flambée" de la maladie, et que le pays disposait de stocks suffisants de vaccins pour les personnes cas contact.
Maladie considérée comme rare
La Direction générale de la Santé a indiqué vendredi à l'AFP que deux premières personnes, considérées comme ayant eu un contact à risque avec un malade de la variole du singe, ont été vaccinées à Paris, à l'hôpital Bichat. Face aux cas de variole du singe, dans un avis rendu mardi, Haute autorité de Santé a recommandé la vaccination des adultes, y compris des professionnels de santé, ayant eu un contact à risque avec un malade.
La variole du singe (monkeypox en anglais) ou "orthopoxvirose simienne" est une maladie considérée comme rare, connue chez l'être humain depuis 1970. Elle est due à un virus à ADN.