"Il n’y a aucune relation entre mes déclarations et le procès Clearstream, c’est une simple coïncidence, j’ai agi en mon nom personnel, personne ne m’a commandé cette interview, ma conscience qui m’a dicté le devoir de parler parce que j’ai assisté à trop de choses", a déclaré l’avocat Robert Bourgi, lundi matin sur Europe 1, avant d'ajouter :" je veux une France propre, à droite et à gauche".
Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, l'avocat et pilier de la "Françafrique", a accusé Jacques Chirac et Dominique de Villepin d'avoir reçu des fonds occultes provenant de plusieurs chefs d’Etats africains.