La découverte annoncée mardi de cinq variations génétiques héréditaires liées aux cancers les plus agressifs de la prostate ouvre la voie à un test sanguin pour mieux distinguer les tumeurs dangereuses de celles à évolution lente, évitant des traitements inutiles.
"Alors que des études précédentes laissaient penser que les caractéristiques génétiques étaient déterminantes dans l'évolution de ce cancer, cette recherche est la première à établir le rôle de variations génétiques spécifiques dans la mortalité", souligne l'auteur de l'étude, le Dr Janet Stanford.