L'avocat d'Imad Lahoud, Maître Olivier Pardo, a reconnu jeudi devant la cour d'appel de Paris que son client avait une part de responsabilité dans l'affaire Clearstream mais a assuré que le professeur de mathématiques n'était pas "le chef d'orchestre" de la manipulation. "Imad Lahoud a reconnu être le détenteur des fichiers falsifiés, avoir ajouté le nom de Nicolas Sarkozy, (...) mais il n'a jamais, jamais reconnu être le falsificateur, le manipulateur du dossier Clearstream", a plaidé le conseil.