Closer s'apprête à assigner Valérie Trierweiler en justice. Le magasine people reproche à l'ex-Première dame d'avoir écrit dans son livre qu'elle a rencontré François Hollande après leur rupture, alors qu'elle avait fait condamner l'hebdomadaire précisément pour avoir rapporté ces rencontres, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.
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La magazine avait été condamné en mars et en juin pour atteinte à la vie privée et au droit à l'image pour avoir écrit que l'ex-compagne de François Hollande vivait avec un esprit de revanche, et avoir indiqué qu'elle avait revu le chef de l'Etat après leur séparation en janvier. La revue avait dû verser un total de 19.000 euros.
Depuis la parution début septembre du livre de Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, Closer estime que l'esprit de revanche est avéré, tandis que la tenue des rencontres entre l'ex-Première dame et le président après leur rupture est désormais établie. La société Mondadori Magazines France, qui édite Closer, réclame un euro de dommages et intérêts, ainsi que le remboursement de ses frais de justice.
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Début janvier, Closer avait été le premier à faire état d'une relation entre le président François Hollande et l'actrice Julie Gayet dans un dossier de sept pages accompagné de photos. Deux semaines plus tard, le chef de l'Etat annonçait sa séparation d'avec Valérie Trierweiler.