Plusieurs associations de rapatriés et de harkis ont soutenu ce week-end la décision du gouvernement français de ne pas commémorer officiellement lundi 19 mars le 50e anniversaire du cessez-le-feu en Algérie.
Un débat sur la date d'un hommage national aux morts en Algérie oppose notamment des représentants des rapatriés et harkis à des associations d'anciens combattants, pour la plupart d'anciens appelés ayant combattu en Algérie. Vendredi, le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Marc Laffineur, a indiqué dans un communiqué que l'Etat n'organisera lundi "aucune commémoration nationale" à l'occasion de l'anniversaire du cessez-le-feu.