Dominique Strauss-Kahn a affirmé aux policiers qu'il avait "de suite" relâché son étreinte sur Tristane Banon quand celle-ci l'a repoussé fermement après qu'il eut tenté de l'embrasser, selon des extraits de son audition que l'avocate de l'ex-patron du FMI a révélé vendredi à l'AFP.
"J'ai essayé de la prendre dans mes bras. J'ai tenté de l'embrasser sur la bouche. Elle m'a repoussé fermement. Elle m'a lancé, en substance 'Ça va pas ?'. J'ai de suite relâché mon étreinte, elle s'est emparée de ses affaires et elle a quitté l'appartement furieuse", a déclaré DSK aux policiers, lors de son entrevue de février 2003 avec Tristane Banon.