Sous le feu des critiques. Mattel n’a pas l’habitude de s’exprimer sur la silhouette très critiquée de sa célèbre poupée. Mais les ventes de Barbie en chute libre, révélées par le Wall Street Journal, ont peut-être contraint le plus grand fabricant de jouet au monde à défendre sa "créature".
Car Barbie est régulièrement sous le feu des critiques. En cause : sa maigreur, et l'influence que ses formes pourraient avoir sur les petites filles qui jouent avec elle. Des reproches démentis en bloc par le vice-président du design de Barbie, Kim Culmon,dans une interview au site Fastcodesign. “Qu’il s’agisse de modèle physique ou de quoi que ce soit d’autres, c’est prouvé, c’est (...) leur entourage social qui les influence”, a affirmé Kim Culmone, étude de l’université anglaise de Sussex à l’appui.
Troubles alimentaires. Mais Kim Culmon a pris de grandes libertés avec l'enquête en question.Car l’étude livre d’autres résultats, concluant notamment que l’exposition des fillettes aux poupées amaigries “peut endommager l’image corporelle des petites filles, ce qui augmenterait le risque de troubles alimentaires”.
POLÉMIQUE - "Barbie ouvrière" mise en scène