Une grève suivie par 70% des contrôleurs SNCF de la région Nord/Pas-de-Calais pour réclamer un projet régional pour la sûreté, entraînait vendredi la suppression d'un TER sur deux, selon des sources concordantes.
Le mouvement, prévu pour 24 heures à l'initiative de la CGT et Sud-Rail, pourrait être reconduit tous les vendredis. Il fait suite à une série d'agressions, notamment sur la ligne Lille-Dunkerque, selon Bruno Wallard, délégué régional CGT, qui cite comme point de départ du mouvement "un collègue menacé au couteau le 31 mai entre Lille et Dunkerque".