Johnny Hallyday ne fait pas l'objet d'un examen de sa situation fiscale personnelle et les sociétés qu'il détient directement ou indirectement peuvent faire l'objet de "contrôles de routine", a affirmé mercredi son avocat. "Contrairement aux rumeurs fallacieuses véhiculées par la presse, Johnny Hallyday ne fait pas l'objet d'un examen de sa situation fiscale personnelle (ESFP) ni en France ni à l'étranger", indique Me Ardavan Amir-Aslani dans un communiqué.
"Le contrôle dont sont susceptibles de faire l'objet certaines des sociétés détenues, directement ou indirectement, par ce dernier, sont des contrôles de routine à l'instar de milliers d'autres effectués par l'administration fiscale chaque année", ajoute-t-il.
L'avocat du chanteur affirme par ailleurs que ce dernier "demeure attaché à sa résidence en Suisse et n'a fait, et ce à aucun moment, l'objet d'une demande de changement de résidence fiscale par les autorités helvétiques". "Aucun autre commentaire ne sera effectué ni par l'intéressé ni par son conseil", conclut le texte.