La sœur d'un des otages français enlevés en septembre 2010 à Arlit (nord du Niger) estime que des salariés d'entreprises françaises "n'auraient jamais dû se retrouver otage si toutes les précautions avaient été prises". "Ce qui me révolte, c'est que ces gens qui étaient allés là-bas pour travailler n'auraient jamais dû se retrouver otage si toutes les précautions avaient été prises", estime la sœur de Marc Féret, Françoise, dans un entretien à La Provence parue samedi.