e sont des départs qui mettent en difficulté le Front national dans sa stratégie de dédiabolisation. Des défections qui attestent l'idée que, derrière le discours officiel, le parti n'a pas changé depuis que Marine Le Pen en a pris les rênes en janvier 2011. En l'espace d'un mois, trois militants, investis à de bonnes places pour les municipales de mars prochain, ont décidé de claquer la porte du parti.
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