"Ils m’ont pas consulté/Pourtant j’étais pas pour/ Y a mon usine qu’a foutu le camp/A Singapour". Renault ? Lejaby ? Non, cette petite ritournelle-là résonne du côté de Romans-sur-Isère, la "capitale de la chaussure" qui a vu ses ateliers fermer les uns après les autres au cours des dernières années. "On ne peut pas tomber plus bas", résume Thomas Huriez, un commerçant tendance "alter", qui a choisi de rassembler les talents de sa ville, tout du moins ceux qui ne sont pas encore partis, dans un clip diffusé sur Internet. Plus d'infos en cliquant ici.