Il ne fait pas bon être écolo....Du moins pour les plus militants d’entre eux, qui sont toujours plus nombreux à mourir lors de leurs opérations de par le monde, rapporte le site du Guardian. L’association Deadly Environment a en effet dénombré 147 activistes "verts" décédés en 2012, contre 51 en 2002. Un chiffre qui a donc triplé, pour atteindre aujourd’hui, toujours selon le rapport, une moyenne de deux décès par semaine.
"L’impunité nourrit la violence". Parmi les pays les plus dangereux pour les associatifs et membres d’ONG, le Brésil figure en tête du classement avec 448 décès sur les 10 dernières années, pour une dizaine de condamnations seulement. C’est un des problèmes que dénonce Isolete Wichinieski, coordinateur national de la commission pastorale de la terre : "ce qui nourrit la violence, c’est l’impunité".
RUSSIE - Le sort des militants de Greenpeace inquiète