LA QUESTION DU JOUR -
Pierre Lellouche a clairement souhaité que les entreprises françaises se placent dans l'après-Kadhafi.
"La France bénéficie d'un capital de sympathie élevé auprès des nouvelles autorités libyennes. Il est normal que les entreprises françaises en profitent" : l'invitation lancée mardi par le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, est claire. Après avoir pris des risques politiques en Libye, la France souhaite maintenant "participer activement à sa reconstruction". Et, pour le gouvernement, les entreprises françaises doivent être en première ligne. Qu'en pensez-vous ?