"Alcoolique", atteinte d'une "tumeur au cerveau", mariée à un "avocat islamiste". Trop, c'est trop pour Martine Aubry. Ces folles rumeurs, qui circulent parfois depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, ont poussé dimanche la candidate à la primaire socialiste à sortir de son silence dans les colonnes du Journal du Dimanche.
Expliquant qu'il s'agit "d'attaques" et qu'elle ne craint pas "une campagne vile", la première secrétaire du Parti socialiste évoque la possibilité de "porter plainte contre ceux qui ont diffusé les rumeurs".