L'enseignante qui a évoqué en classe la possibilité de faire une minute de silence pour le tueur de Toulouse Mohamed Merah était "suivie psychologiquement" et son propos n'est "pas un acte politique", a indiqué le syndicat enseignant SGEN-CFDT.
"Ce n'est pas du tout un acte politique d'une extrémiste, mais d'une collègue qui a des soucis de santé, qui est fragile et qui fait l'objet d'un suivi psychologique", a indiqué le secrétaire SGEN-CFDT de Haute-Normandie, Pascal Bossuyt.