La France prendrait "une nouvelle clause de sauvegarde" sur le maïs génétiquement modifié de Monsanto si la suspension actuelle, remise en cause par la Cour de justice européenne, était annulée, a annoncé jeudi la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet.
"Si la clause française était annulée pour des questions procédurales, nous prendrions une nouvelle clause de sauvegarde (...) car les questions environnementales, elles, demeurent sans réponse", a indiqué la ministre dans un communiqué.