Le gouvernement a renoncé à lâcher un ours dans les Pyrénées en 2011 malgré ses engagements antérieurs, tranchant en faveur des opposants à sa réintroduction contre ses défenseurs, pour lesquels cette décision signe l'arrêt de mort de l'animal dans l'ouest du massif.
Le ministère de l'Ecologie a ensuite confirmé l'information, indiquant que Nathalie Kosciusko-Morizet ne voulait pas accabler les éleveurs "déjà touchés par la sécheresse".