Le constat dressé par le dispositif régional d'observation sociale (DROS) est alarmant : près d'un enfant marseillais sur deux (44 %) vit sous le seuil de "bas revenu", rapporte mardi La Provence.
"Concrètement, il s'agit de familles qui vivent en moyenne avec 667 € par mois et par unité de consommation", précise le DROS, cité par le quotidien. Autre spécificité inquiétante : "c'est à Marseille que les enfants pauvres rencontrent les plus grandes difficultés pour se loger".