Le réchauffement climatique pourrait affecter la santé humaine dans les trente prochaines années, selon des modèles informatiques présentés samedi à Washington montrant qu'un climat plus chaud et humide engendre un accroissement des toxines et des bactéries.
Ces recherches financées notamment par l'Agence fédérale des océans et de l'atmosphère (NOAA) américaine révèlent comment la montée globale des températures modifie les écosystèmes aquatiques en les rendant plus propices à la prolifération d'algues toxiques et de micro-organismes nocifs.