Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a prévenu : en Centrafrique, "ce sera plus long que prévu". Deux mois après le début de l'opération Sangaris, des ONG dénoncent un "nettoyage ethnico-religieux" et l'ONU craint, de son côté, un partition du pays. Cinq pays de l'Union européenne envisagent d'y déployer un millier de soldats et la France a annoncé l'envoi de 400 soldats supplémentaires.