Bernard Tapie, nouveau propriétaire du groupe Nice-Matin, a estimé mardi, lors d'un point-presse improvisé à l'issue de sa première rencontre avec les employés du groupe, qu'il n'y avait pas à craindre une "remise en cause générale" des effectifs, mais seulement "des ajustements à prévoir" qui seront connus dans deux à trois semaines. "Il faut que la société ne soit pas pénalisée d'entrée de jeu en ayant des sureffectifs criants. Il faut que les ratios soient corrects", a estimé l'homme d'affaires, après avoir notamment rencontré la direction du groupe, les syndicats et les salariés toutes catégories confondues.