Bruno Le Roux, l'un des porte-parole de François Hollande, a affirmé jeudi avoir vu une "faille" dans la surveillance de Mohamed Merah et jugé que ce n'était pas un nouvel arsenal pénal, comme celui annoncé par Nicolas Sarkozy, qui allait "régler les problèmes de société".
"Le terme 'faille' (évoqué jeudi par le ministre Alain Juppé, ndlr), je le reprends volontiers. Aux Etats-Unis, aurait été constitué sans coup férir une commission d'enquête pour voir là où il y a eu problème dans la surveillance", a-t-il souligné.
Sans demander d'ouverture d'enquête en France, il a précisé: "En France, on pourrait pour le moins se poser la question de savoir ce en quoi nous aurions pu éviter ce drame, ou pu agir différemment sur le cours de celui-ci".
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