La journaliste Valérie Trierweiler a estimé mercredi sur Canal+ que son compagnon, le candidat socialiste François Hollande, favori des sondages pour la présidentielle, "est maintenant vraiment lui-même", "a atteint la plénitude, le bonheur, sans doute". "Je pense qu'il est libéré de beaucoup de choses, voilà, libéré", a-t-elle dit, alors qu'on lui demandait s'il avait changé à son contact.
Précisant qu'elle connaît le candidat socialiste depuis 23 ans, quand elle couvrait le PS en tant que journaliste, elle a reconnu que "non, bien sûr que non", elle n'avait pas imaginé son destin. En cas d'élection de François Hollande, elle a affirmé qu'elle ne s'inspirerait "de personne en particulier" comme première dame, "mais j'ai du respect pour chacune" qui a occupé cette fonction. "C'est un rôle qui fait certainement rêver beaucoup de femmes, mais qui est très compliqué, parce qu'il n'est pas défini, chacune en fait ce qu'elle veut", a-t-elle dit. "Je n'ai pas trouvé l'école de première dame de France".
Quel rôle allez-vous jouer dans la campagne ? "Mon rôle il n'est pas défini, il est celui d'une compagne qui accompagne un candidat en campagne", a répondu Valérie Trierweiler.