Les conditions de vie des étudiants se dégradent, un quart d'entre eux déclarant rencontrer des difficultés pour "joindre les deux bouts" pour leurs dépenses courantes et pour se soigner, révèle une enquête de la LMDE publiée jeudi.
En matière de santé, l'enquête témoigne d'un "accès aux soins des étudiants en recul et d'un niveau de protection sociale insuffisant": un étudiant sur cinq renonce à se soigner et de nombreux étudiants ne bénéficient pas d'un niveau de protection sociale suffisant. Le salariat étudiant "ne permet pas d'éviter la précarité" car près de la moitié des étudiants vit avec moins de 400 euros par mois.